En bref
- Né le 8 août 1949 à Bordeaux. Marié, deux enfants.
- Sports favoris : football et rugby.
- Études secondaires au lycée Saint Genès à Bordeaux. Baccalauréat en 1969.
- Faculté de Droit.
- Service militaire dans l’Infanterie de Marine.
- Employé à la Caisse primaire d’assurance maladie puis à la Caisse régionale d’assurance maladie.
- Responsable d’un élevage industriel.
- Agent général d’assurances Aviva pendant 37 ans.
- Délégué régional, membre du Bureau exécutif et président adjoint du Syndicat national des agents généraux Aviva.
- Président de l’association Eurorugby.
- Retraité depuis 2017.
- À présent, auteur de romans.
Mon père était un érudit et un amoureux de littérature. De culture latine et grecque, il lisait beaucoup. Je porte encore aujourd’hui une profonde admiration pour ce Monsieur qui jonglait avec les mots, les phrases et les idées.
Je suis né à Bordeaux le 8 août 1949. Mon enfance a toujours été baignée dans le respect des « belles lettres », des idées philosophiques et du plaisir de lire. Mon père conseillait ses enfants sur les lectures indispensables pour un complet épanouissement intellectuel. La télévision n’était pas invitée aux repas qui se déroulaient au milieu d’échanges d’idées et de sentiments ressentis lors de nos lectures.
Puis la vie professionnelle est arrivée et je me suis marié. J’ai dû me battre pendant de très longues années pour élever mes deux enfants et leur donner des armes pour affronter la vie. Au bout du compte, j’ai réussi à me vautrer dans un confort certain tout en oubliant l’essentiel au point de me demander : qu’ai-je fait de ma vie ?
Moi, mon rêve était d’écrire un roman.
Je sais que ce n’est pas très ambitieux mais je voulais aussi me prouver que je pouvais écrire trois cent pages et raconter une histoire cohérente avec du suspens et des situations intéressantes. De plus, grand amateur d’histoires policières et d’aventures, je suis très souvent déçu par les intrigues, la platitude des enchaînements ou l’incohérence des histoires.
Mon atout est une imagination très développée : en partant d’une idée simple, j’arrive à échafauder des situations et des enchaînements parfaitement crédibles. Ma faiblesse était ma capacité à fournir un travail assidu qu’exige un tel projet. Étant à la retraite, je me suis alors infligé des horaires de bureau pendant plus de cinq mois pour construire ce roman.
L’idée de base m’est venue lors du visionnage d’un documentaire sur l’Amazonie. Je trouve cet endroit fascinant ! L’amalgame qui existe entre la nature et ses dangers, les zones de non-droit, les bandes armées, les guérilleros, les narcos et les trafics en tous genres stimulent mon imagination.
Je ne suis jamais allé en Amérique du Sud. Cependant, la documentation est désormais à la portée de tous sans même bouger de son bureau. C’est ce que j’ai fait : une très grande télévision connectée à Internet m’a permis de consulter et de vérifier tous les détails de mes descriptions. C’était un travail long, méticuleux mais pas dénué d’intérêts !
Une fois la rédaction du manuscrit achevée, un travail colossal commence pour éditer et distribuer le livre.
Avant de le soumettre à un éditeur, il faut corriger le manuscrit jusqu’à ce qu’il soit parfait. Pour moi et une amie qui m’a beaucoup aidé, ce travail long et prenant a duré plus de trois mois.
Les dollars de Maria Dolores est édité à compte d’auteur par les Éditions du Panthéon. Je me félicite (pour l’instant) d’avoir choisi cette maison d’édition.
Choisir la couverture et la quatrième de couverture à été l’occasion de nombreux échanges.
Puis vient le bon à tirer suivi d’une période d’attente jusqu’au jour J de la parution du livre et de sa mise en vente.
La distribution de l’ouvrage est assurée par Hachette Livre, le leader dans ce domaine. Il est alors proposé aux librairies ainsi qu’aux grandes surfaces qui doivent le commander au distributeur pour le mettre en rayon. Les plateformes de vente sur Internet comme Amazon, la Fnac, Cultura et d’autres, proposent le livre à la vente. Enfin, l’éditeur, Les Éditions du Panthéon ont également le titre dans leur catalogue.
Au total, il s’est écoulé un an entre l’écriture du premier mot et la distribution de l’ouvrage. Quelle formidable aventure que la fabrication d’un livre !
Je m’aperçois qu’il est difficile de se faire une place dans ce monde… Néanmoins, je suis convaincu que, dans un premier temps, seuls le bouche-à-oreille et les réseaux sociaux peuvent transformer Les dollars de Maria Dolores en un best-seller.
En réalisant cet ouvrage et qui plus est, en le faisant éditer, j’ai un peu l’impression de prouver à mon père aujourd’hui loin de moi, que son éducation était la bonne même si parfois, à l’époque, ses enfants n’en étaient pas toujours convaincus.
